© Jean-François Spricigo

Quand on entre à la Galerie Caméra Obscura où il est exposé jusqu'au 9 novembre, on lit ceci :

"Le vent se lève

Ce récit ne constitue ni une série ni un concept nulle pensée même
 à l’exception de la fleur du même nom, prolonger l’effloraison des sens
 la Vie ne s’exprime pas en série, tout est neuf, inlassablement
 pas davantage de démarche, mais des marches
 sous la pluie, le vent, le soleil, bordées de l’infini du ciel ainsi pressentir l’infini en soi
 s’envisager sans plus dévisager, chacun, ensemble
 conquête à l’acuité fragile
 l’issue sera la chute
 mais je ne tombe pas le vertige des gouffres est celui des révélations".
Jean-François Spricigo

Nous nous sommes toujours croisés.  Je ne l'ai jamais interviewé sur France Inter dans mon émission Regardez Voir.
Il a eu le prix Nadar/ Gens d'images 2024 pour son livre aux éditions Le bec en l'air.
Je suis allée voir son exposition chez Camera Obscura à Paris.
Nous nous sommes revus et j'ai sorti mon micro.

"Sur le vif" avec Jean-François Spricigo, c'est comme quand il conclue son sms avec " douce et vivifiante journée, à la joie des retrouvailles".

Il parle de Marguerite Kardos
Il parle d' Eric Baret.
Son site 
Le spectacle au 104 à Paris : "à nos visages s'abandonner"
Il sera programmé au Festival du regard  de Cergy Pontoise du 14 janvier aux 2 mars 2025.

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  • © Jean-François Spricigo
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